Pourquoi Winn’Up ?
L’objectif de Winn’Up est de vous aider à construire vos solutions de manière durable. A partir de nos premiers échanges, l’idée est de vous proposer une démarche sur mesure, interactive, souple dans un calendrier et des livrables clairement définis

Des solutions sur mesure
Contextualiser la démarche d’accompagnement
La démarche d’accompagnement peut se construire progressivement, avec par exemple un premier temps d’audit et de diagnostic, puis la définition d’un timing et de livrables précis. Les missions peuvent être ponctuelles ou s’inscrire dans la durée afin de garantir la réussite des projets.

Utilisation des méthodes du co-design
Parce que les solutions se construisent avec le collectif, qu’elles demandent à être partagées, construites avec les équipes, il est important d’utiliser des méthodes de co-construction, de co-élaboration des solutions.

Mobilisation des Meilleurs experts
Winn’UP fait le choix de s’appuyer sur un réseau d’experts spécialisés en fonction des besoins rencontrés. En effet, il est essentiel d’apporter des réponses précises et sécurisées. Certaines expertises comme le juridique, les ressources humaines, la médiation, le coaching, l’international font appel à des profils spécifiques que Winn’UP est en capacité de mobiliser au services de vos solutions.
Fondateur

Jean-Marc Idoux
Président
Ingénieur Arts et Métiers, ayant fait durant son service militaire l’Ecole Supérieure et d’Application du Matériel à Bourges, après avoir travaillé 2 ans dans le groupe VINCI comme ingénieur travaux, Jean-Marc IDOUX rejoint en 1992 l’Enseignement Supérieur comme professeur agrégé à l’ENSAM en « organisation et management des entreprises ». Désireux d’être au plus près des préoccupations des entreprises sur ces domaines, il mène en parallèle des missions d’expertise dans les domaines de la gestion de production et de la mise en place de système d’information. Cette forte implication dans le secteur économique l’amène à occuper des postes de management à L’ENSAM de Lille ainsi qu’à la SERAM de Lille (Société d’Etudes et de Recherche de l’ENSAM) en tant que Délégué Régional. Très engagé dans les questions qui touchent à l’organisation des études d’ingénieur, il sera membre du conseil d’administration et membre du Conseil National des Etudes de l’ENSAM de Lille, puis membre du Conseil d’Administration de l’Union Régionale des Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF).
Après 10 ans d’enseignement et de conseils aux entreprises à l’ENSAM de Lille, il rejoint en 2002 l’école des Hautes Etudes d’Ingénieur (HEI) pour occuper les fonctions de Directeur des Programmes, poste où il s’attèle tout de suite à des chantiers prioritaires tels que la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie de formation visant la professionnalisation du cursus HEI, l’alignement sur le modèle Licence-Master-Doctorat (LMD) et l’adéquation avec la vision des cabinets de recrutement et les besoins des entreprises, l’intégration d’une pédagogie par projets, le développement des Nouvelles Technologies Educatives, surtout et enfin le développement des relations internationales car l’école dispose de tous les atouts pédagogiques et géographiques pour étendre son réseau d’étudiants et développer sa présence à l’étranger.
Il prend ensuite la direction générale de l’école d’ingénieur HEI en 2006, réalise la fusion-absorption d’une première école d’ingénieur ESTIT, ouvre en relation avec la CCI de l’Indre un nouveau Campus en formation par alternance en région Centre « HEI Campus Centre », pilote le projet de rénovation des locaux d’HEI de plus de 24 millions d’euros, réorganise l’activité de recherche et déploie un réseau de plus de 150 partenaires académiques à l’international. Il est également à l’époque Membre du bureau de la FESIC (La FESIC rassemble 28 grandes écoles d’ingénieurs et de management, premier réseau d’établissements privés associatifs de l’enseignement supérieur français), Président de la Convention Paritaire Nationale FESIC, Président de la Conférence Régionale des Grandes Ecoles des Hauts-de-France. En 2012/2013, il porte la fusion des 3 écoles d’ingénieur de l’Université Catholique de Lille, à savoir HEI, ISA et ISEN devenue aujourd’hui Yncréa Hauts-de-France. Il en est le directeur général jusque fin 2019.
En 14 ans de direction générale, il a permis à ce collectif Yncréa Hauts-de-France de devenir un des principaux acteurs de la formation d’ingénieur en France, de passer de 1200 étudiants à plus de 5000 étudiants aujourd’hui, d’ouvrir 3 nouveaux campus dont un site à Rabat « Yncréa Maroc », d’être lauréat de plusieurs PIA (Plan d’Investissement d’Avenir dans le domaine de l’innovation pédagogique), de mettre en place un plan de développement de plus de 146 millions d’euros (immobilier, développement international, nouvelles pédagogies, Recherche, prestation aux entreprises, innovation et entrepreneuriat) pour en faire une référence internationale dans la formation, la recherche, le transfert aux entreprises dans le monde de l’ingénierie.
Il a été par ailleurs sur ces 5 dernières années président du concours post-bac Puissance Alpha (16 grandes écoles d’ingénieurs , 27 campus dans toute la France, 50 domaines de professionnalisation), président de la commission Formation et Société de la CDEFI (Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs), membre du bureau et du conseil d’administration de l’Université Catholique de Lille (plus grande université privée à but non lucratif de France avec 33 000 étudiants dont 5500 étudiants internationaux, 5 facultés, 20 grandes écoles, 17 unités de recherche, 1000 lits d’hôpitaux et 500 lits d’EPHAD).